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Tempête
Tempête… un de mes tout premiers poèmes, écrit en 1994, suite à un énième accès de colère de mon père : TEMPÊTE Une gifle marine Me brûle le visage, Déposant… Lire la suite…
Étiquette : XXe siècle – poésie
poésie du vingtième siècle
L’amour sans trêve – Poème d’Antonin Artaud
Parmi les œuvres noires, cérébrales et torturées d’Antonin Artaud, j’extrais aujourd’hui ce poème-exception : L’AMOUR SANS TRÊVE Ce triangle d’eau qui a soif cette route sans écriture Madame,… Lire la suite…
Le Grand Express
« Le Grand Express » est un poème de jeunesse écrit au moment où je m’exerçais à la versification classique. L’inspiration m’était venue après avoir vu une rediffusion du film Runaway train… Lire la suite…
Poèmes de Maria Luisa Spaziani
(A GIORNI ALTERNI SONO IO LA LUNA) A giorni alterni sono io la luna e tu l’immensa terra che mi attira, e questa nottetu, tu sei la luna – io… Lire la suite…
Écrire l’amour… – Poèmes
LA SEULE Le 26 mars 1939. Tu fais le premier pas, tu confonds nos ombres Il n’y a plus de distance Entre nous Nous sommes plus proches Plus semblables et… Lire la suite…
Féline Bastet, muse du poète
Le chat, animal indépendant à la vie la plus envieuse qui soit, est souvent le compagnon du poète. Il arrive même qu’il l’inspire : LE LIVRE DES SEPT MÉDITATIONS… Lire la suite…
Textes de Pierre Lebasteur
En explorant les fonds anciens de la bibliothèque d’Annecy, une collègue a découvert le recueil d’un poète tombé aux oubliettes… Pierre Lebasteur. Voici deux textes qui m’ont plu : Partager Lire la suite…
Neruda, la mer… et le temps qui passe – Poèmes
Voici deux poèmes de Pablo Neruda que j’apprécie particulièrement : Il semble qu’un navire autre que tous les autres Devra, l’heure venue, se montrer sur la mer Il n’est… Lire la suite…
Malvina – Une courtisane « à la Audiard »
Je viens de voir le film « Comment réussir quand on est con et pleurnichard », qui raconte les tribulations d’un représentant de commerce, dont les perpétuelles lamentations ont un… Lire la suite…
Existence
EXISTENCE Perce les esprits de ta sarisse Qu’ils saignent de t’envisager. Souffle dans ton fifre empoisonné Cette aubade de supplices. Tu cloues nos destins Au pilori de l’absolu. De la… Lire la suite…