Mohammed Dib et la poésie
Poésie oblige Mais à quoi faire, à quoi dire ? Il est à craindre que le jour où l’on répondrait à cette question, la poésie aurait vécu. Serait-ce un… Lire la suite…
Poésie oblige Mais à quoi faire, à quoi dire ? Il est à craindre que le jour où l’on répondrait à cette question, la poésie aurait vécu. Serait-ce un… Lire la suite…
La tâche du poète 1 Écrire lentement – traits blancs sur un fond noir – sur le papier bruyant des mots de grand silence. 2 Promptement, fracasser – en traits… Lire la suite…
Regarder l’enfance Jusqu’aux bords de ta vie Tu porteras ton enfance Ses fables et ses larmes Ses grelots et ses peurs Tout au long de tes jours Te précède… Lire la suite…
BAINS DE MER I Juste au-dessus de l’eau, les sourcils, les pommettes, la bouche. Toute lumière, l’eau recouvre le corps de nappes légères et les découvre. A l’air, la chair… Lire la suite…
PÊCHER DANS LA GREEN RIVER Semblables à des jambes de géant les tulipiers se dressent au cœur des bois. Les fauvettes sifflent au soleil levant. L’eau acrobatique bondit dans… Lire la suite…
La nuit d’Audierne 1 Soldats de la nuit pélagienne sombres guerriers bardés de brumes combattrons-nous le jour venu votre cohorte élyséenne envahisseurs sanglés d’écume amoureux de fleurs noires et de… Lire la suite…
NOTRE BESOIN DE CONSOLATION EST IMPOSSIBLE À RASSASIER Je suis dépourvu de foi et ne puis donc être heureux, car un homme qui risque de craindre que sa vie… Lire la suite…
AUDIERNE à Anne Péron. Je ne demande plus que des bonheurs d’un sou : Muser, au mont Saint-Jean, parmi le vent, la lande, D’où tenir, d’un regard, le port, la… Lire la suite…
Ce poème du XIXe siècle, signé François Fabié (1846-1928), nous parle d’un temps que les grands pollueurs que nous sommes ne peuvent plus connaître… . Au fait : ça ressemblait… Lire la suite…
« Asperges me, Domine, hyssopo… » Ps. L. La très chère était là, étendue et sans voile, Tout son passé défait ainsi que ses cheveux. Un parfum inconnu effarouchait ses… Lire la suite…