Soies – Poème d’Hubert Nyssen
SOIES Je te supplie, déploie ce soir toutes tes soies, des plus palpables aux plus secrètes, des plus souples à celles, un rien râpeuses et pareilles aux petits vins que… Lire la suite…
poésie en langue française
SOIES Je te supplie, déploie ce soir toutes tes soies, des plus palpables aux plus secrètes, des plus souples à celles, un rien râpeuses et pareilles aux petits vins que… Lire la suite…
23 BIS RUE LOUIS PASTEUR Les fleurs d’hortensia qui coiffent le mur de la terrasse luisent de poussière pluviale. Les pixels colorés des pavés me ramènent à nos jeux d’enfants.… Lire la suite…
BANIAN DE MADRAS À Madras, dans le parc de la Société théosophique, se dresse un banian : il est censé être le plus vieux du monde. Son immobilité n’est qu’apparente;… Lire la suite…
CHRONOS Assis sur une souche tatouée de vécu, je trempe mes pieds dans l’ombre monumentale que le massif déploie. En une fraction de déclin, son domaine s’étend jusqu’au profond de… Lire la suite…
La légende du Kerdeck C’est fête patronale au Kerdeck, en Bretagne, Ivon roi des binious, Ivon jeune et charmant, Mène le bal, et gai comme un appel d’amant Le… Lire la suite…
OS À MOELLE 1 La Terre plie tant sous le poids de nos erreurs qu’elle en vient à perdre ses vertèbres trop usées. L’Os à moelle – Sculpture d’Henri Barmasse… Lire la suite…
MAROC QU’ON AIME Le Maroc qu’on aimeLe Maroc des mordus du clavierMobilisateurs du 20 février*Internautes avertis frustrésAssoiffés de justice de dignitéLes perpétuels révoltésLes enragés de véritéLongtemps stigmatisésÉcartés rejetés diabolisés… Partager Lire la suite…
Entrepôts désaffectés Les vétérans métalliques soutiennent à bout de poutres les ruines saoules de leur chair industrielle. Gisent leurs carcasses lézardées livrées aux assauts de l’abandon. Ossuaire périurbain terni de… Lire la suite…
ENIVREZ-VOUS Il faut être toujours ivre. Tout est là : c’est l’unique question. Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la… Lire la suite…
Mon recueil favori de Jacques Ancet est « L’identité obscure », paru en 2009 aux éditions Lettres vives. Chacun des chants qui le composent est comme un long souffle révélateur. On y… Lire la suite…