Sonnet LXXXIII – Poème de Joachim du Bellay
Déjà la nuit en son parc amassait Un grand troupeau d’étoiles vagabondes, Et, pour entrer aux cavernes profondes, Fuyant le jour, ses noirs chevaux chassait. Déjà le ciel aux Indes… Lire la suite…
Déjà la nuit en son parc amassait Un grand troupeau d’étoiles vagabondes, Et, pour entrer aux cavernes profondes, Fuyant le jour, ses noirs chevaux chassait. Déjà le ciel aux Indes… Lire la suite…
Je voudrais bien richement jaunissant En pluie d’or goutte à goutte descendre Dans le giron de ma belle Cassandre, Lorsqu’en ses yeux le somme va glissant. Puis je voudrais en… Lire la suite…
Dans ses « Octonaires sur la vanité et inconstance du monde », Antoine de Chandieu (1534-1591) met en poèmes la course des saisons sur les domaines du château des Allymes (dans le… Lire la suite…
Je ne veux point fouiller au sein de la nature, Je ne veux point chercher l’esprit de l’univers, Je ne veux point sonder les abîmes couverts, Ni dessiner du ciel… Lire la suite…
Passer son visage dans les cheveux d’une femme, inhaler ce bouquet qui rend fou d’ivresse… un ressenti mis en vers depuis des siècles : Ze chevelure, par Benoît Gréant Un… Lire la suite…