NOËL
Y a des tas de saligauds
Mon Dieu dans tes églises
Qui font entre deux rots
Des tas de manières à ton fils
Qu’a eu pour son dernier festin
Rien qu’un chapeau d’épines.
Paul Vincensini, in Quand même ; (suivi de) L’Ombre est bleue ; (et de) Le Chemin des oiseaux, Éditions Saint-Germain-des-Prés, Coll. Poètes contemporains, Paris, 1975.